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    Mon blog est un blog d'histoire.

    Chaque jour j'écris des histoires croustillantes.

    Vous pouvez la lire, la commenter, et même me questionner si vous n'avez pas compris !

    Alors bonne lecture !

    Anonyme :) 

    P.S.: Les chapitres sont de bas en haut (si vous voulez aller au chapitre 1 il faudra aller tout en bas !)

  • Chapitre 4 : Comment !?

    J'étais fier de ma technique mais j'avais quand même une boule dans le ventre... J'étais allé au travail ce jour là en pensant qu'il ne m'appellerais pas aujourd'hui. J'étais devant ma feuille blanche, sans idée, tout ce qui me passait par la tête avait un rapport avec le tueur. J'entendais mes collègues chuchotant que j'étais dans la lune et qu'il fallait que je me reprenne. Facile à dire ! J'avais finalement décidé de rentrer chez moi. Le bruit du metro resonnait dans ma tête le joueur d'accordeon faisait l'air de ma chanson preferé. J'avais l'impression que je l'entendais pour la dernière fois. Au seuil de ma porte je vis le paysage se flouter, devenir gris, puis noir. Je m'étais évanoui pour de bon. 

    Je me retrouvais de nouveau dans cette salle blanche où j'avais vu Julia allongée. Des infirmières s'affairaient autour de moi, j'avais la tête qui tournait. Devant moi il y avait Julia et Camille. Elles étaient au bord des larmes. J'étais mal, j'avais envie de m'enfoncer dans un trou noir à jamais. Je vis au fond un monsieur au manteau noir avec un chapeau et des lunnetes de soleil. Il  ne me ragardait pas il avait un journal et un bouquet. Soudain il deplia son journal, il y avait marqué : Walter, un ancien militaire, blessé au côtes. Il n'est pas mort, mais très gravement blessé.                    Tout redevins noir. Je m'étais de nouveau évanouis.

    Quand je me suis reveillé, il n'y avais personne. Juste moi et le bouquet du tueur. Sur la carte, il y avait inscrit : A demain maître !


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  • Chapitre 3 : Premier ordre.

    Après avoir lu ce message, je me rendais compte petit à petit que j'étais pris au piège. Il n'y avais plus d'issue. J'aurais put en parler à ma femme, mais elle aurais paniqué et nous aurais obligés, ma fille et moi, de demenager au bout du monde et puis surtout, je manquais de cran. J'avais decidé de voir une psychologue qui m'aiderais sûrement mais dès que je commençai à en parler elle me prenais pour un fou, me demandais si tout allais bien dans  ma vie. Enervé j'étais sorti de son petit cabinet blanc en vitesse après lui avoir dis qu'elle étais nul de ne pas croire ses clients.             Quand je rentrai enfin chez moi le télephone sonna. Je regardais vite ma montre... Non, ce n'étais pas encore l'heure. Allô ? "Oui, Alexandre. C'est ton patron, c'étais pour savoir, tu ne vas plus au boulot, c'est quoi le problème ?" Je répondais "Euh... Je travaille chez moi..." La conversation se poursuivit et tout s'arrangea. Quelques heures après le telephone sonna. C'était lui. Alors, sans attendre je decrochais. "Cher maître, vous avez decidé de ma mission ?                                                                         -Oui." J'avais eu une idée. Si il allait chez Walter, l'ancien militaire anglais il se ferait tuer car Walter étais très méfiant. Mais par sécurité je  lui avais demandé de juste le blesser. Il avait grogner mais c'étais comme ça, je l'avais decidé. Ma nouvelle technique allait marcher j'en étais sûr.

    Ne décroche pas !


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  •                             Chapitre 2.  Contre vous...

     Le lendemain je suis resté à la maison car je voulais reflechir au coup de fil d'hier. J'étais seul dans la maison. Le soleil passait et eclairait toute la pièce par les grandes baies vitrées. J'étais affallé sur un des grands canapé blancs face à la cheminée et j'attendais que le temps passe dans un long silence un peu effrayant. Ce midi j'étais allé manger au bistrot du coin avec mon meilleur ami Jean mais je ne lui en avait pas parlé. Ce satané appel d'hier ! Qu'avait-il dit à ma fille ? Pourquoi moi ? Peut-être qu'il était jaloux de ma vie... J'ai une jolie et gentille femme, une fille parfaite, je suis riche... Mais je ne vais quand même pas lui demander de commaitre des crimes... Ce serai bête de ma part et... DRING ! D'un coup tout alla beaucoup plus vite dans ma tête que dire, que faire ? Tout se bousculais dans ma tête et soudain plus rien un long silence... Mais oui ! C'était ça ! Il ne fallait pas decrocher ! Comme ça il ne pourrais pas commaitre de crimes vu que je ne lui ordonne pas ! Et au bout d'un moment il lacherais l'affaire ! Une heure après, le telephone sonna de nouveau. Prudement,  j'attrapai le combinée : "Bonjour monsieur  Trommet, ici l'hopital Jeanne D'arc. Madame Trommet a été assomée à coup de massue. Elle en sortira sûrement sauve mais ce dont nous sommes sûrs, c'est que c'était des coups voulus et non un accident." Affollé, je courus jusqu'à la porte, pris ma veste et fila à l'hopital. Julia était allongée, elle fermais les yeux. dans sa main une lettre. Je l'ouvris avec mefiance :

      Décroche la prochaine fois ! Je ne voudrais pas refaire mal à une personne de ta famille ! Ce serais tellement dommage !

    Cordialement,                                                   le tueur.

    Ne decroche pas !

      

       


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  •                               Chapitre 1.    Allo ?

    Je m'appelle Alexandre et j'ai 30 ans. J'ai tout pour être heureux !                               Ma genereuse fille, Camille, et ma splendide femme, Julia.                                                   Nous formons une très belle famille.

    Julia est top model mais dessine des planches de BD quand elle a le temps. Camille est a l'école mais passe son temps a écrire des poèmes ! Elle dit que plus tard, elle fera une grande histoire sur notre famille ! Et moi je suis publicitaire. Mais je suis plutôt reputé depuis ma pub pour McDonald !

    Un jour pluvieux, j'étais resté a la maison car Julia étais partie a un shooting photo et comme il étais mercredi, Camille n'avait pas école et du haut de ses 8 ans, elle n'allait pas se garder toute seule ! Donc je lisais le journal pendant qu'elle regardait la télé.  Quand soudain le telephone sonna. Camille, comme d'habitude se jetta sur le telephone pour crier un allô fierement. Mais d'un coup elle commenca a froncer les sourcils et me passa le conbinée. Une voix très grave mais en même temps douce me dit : "Cher maître, j'ai soif de sang. Tant que vous ne m'aurez pas donné de crime pour assouplir ma pense, je vous telephonerez chaque jour a cette heure-ci. Attention ! Ca pourrais se retourner contre vous..." J'étais bouche-bé. Mais ne voulut rien dire à Camille de peur de l'angoisser. Un canular ? Pas si sûr...

    Ne decroche pas !

     

      

      

      

      

      

      

      

      

      

     


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